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Vivre avec la fibrose kystique

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Ah ben oui le diabète, je devais l’attendre lui, j’imagine…

3 mai 2016

 

Avec une grossesse gémellaire et la fibrose kystique, on doit augmenter considérablement son apport en nutriments, car ces 2 conditions additionnées demandent énormément d’énergie.

Avant d’être enceinte, je contrôlais ma glycémie en évitant le plus possible de manger du sucre : pas de dessert et pas trop d’aliments riches en glucides. De plus, je veillais à intégrer des protéines dans tous mes repas (les protéines échelonnent l’absorption des glucides par l’organisme sur une plus longue période de temps).

J’ai été assez rapidement suivie par la clinique de diabète de grossesse. Même si on ne m’avait pas fait passer le test d’hyperglycémie provoquée, on évaluait que j’étais à risque. La clinique est constituée de différents endocrinologues, alors on ne voit jamais la même personne.

Une fois, on m’a planifié des rendez-vous avec 4 professionnels différents (nutritionniste, infirmière, résident et endocrinologue) au cours de la même journée, qui ont tous analysé et commenté mon journal alimentaire. À la 4e personne, le peu de patience que j’ai dans la vie m’avait quittée. Ça faisait déjà 3 fois qu’on me disait de mettre des protéines à tous mes repas et collations et de bouger. Rendue à l’endocrinologue, je lui ai répondu que des noix et du fromage, j’en avais plein le pompon.

De plus, on n’arrêtait pas de me répéter à quel point une hyperglycémie ou une hypoglycémie sont néfastes pour mes bébés. Mais je n’avais pas le sentiment que l’on me donnait de réelles solutions pour stabiliser mes taux de sucre qui variaient beaucoup.

En plus, en voulant limiter au minimum ma consommation de glucides (c’est la solution que j’ai trouvée pour éviter de faire fluctuer mon taux de sucre), j’avais énormément de difficulté à prendre du poids. Devant ce constat, la nutritionniste m’expliquait que ce n’était pas bon pour les bébés de ne pas prendre suffisamment de poids, car ça risquait d’affecter leur gain de poids à eux et pourrait entrainer des complications lors de leur naissance.

Mais comment bien me nourrir afin de donner ce qu’il y a de meilleur à mes bébés sans hypothéquer leur pancréas (avec des taux de sucre trop fluctuants)? Comment me sortir de cette impasse entretenant une culpabilité sans solution?

Il aura fallu qu’un de mes rendez-vous en clinique de diabète tombe « la bonne journée ». La journée où Dr Compétente travaille! C’est drôle, car cette docteure faisait également partie de l’équipe de la clinique de fertilité. C’est elle qui m’avait fait mon échographie de viabilité! (Je vous ai déjà dit à quel point j’ai du respect pour tout le travail réalisé par certains médecins?)

Je lui explique cette journée-là que je ne sais plus quoi faire, ne pouvant plus manger de sucre pour limiter la fluctuation de mes glycémies, mais ne pouvant pas non plus manger à ma faim et prendre du poids, car ce n’est que ça que j’avais envie de manger du sucre, le reste me levant le cœur.

La solution était pourtant simple : m’injecter de l’insuline lorsque je mangerai du sucre. Pour moi, cet outil aura été un soulagement et non pas une déception d’en être rendue là. J’avais enfin un moyen d’être proactive pour que mes bébés aient toute l’énergie dont ils avaient besoin!

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